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Novembre pour moi

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8 mars 2021

M&A

Le blanc assourdissant, le blanc cotonneux, la douceur qu’on regarde une dernière fois avant de changer de monde.
Le rouge déflagration, le pincement du blanc cotonneux devenant un blanc piège pour lequel il faut demander de l’aide.
L’aide n’est pas pour tout de suite, d’abord rassembler les pensées et lire dans tes yeux l’inquiétude.
Parler, parler encore et encore, donner des consignes, essayer de contrôler l’incontrôlable.
Aller tout lâcher et se sentir vide et effrayée.
Continuer à tout contrôler, refermer les limites, tout lâcher encore et se laver de tout ça.
Se sentir vide et effrayée et lire dans tes yeux l’impuissance.
Écouter l’appel et sourire un peu du côté militaire des indications.
Accueillir à nouveau ces inconnus dans mon univers et regarder le sol se couvrir du blanc dégoulinant.
Entendre les questions, répondre aux questions et lire dans tes yeux l’inconfort.
Entamer un tour de chaise, penser au dégoulinant qui sèchera et m’inquiéter pour ta route, pourvu qu’au drame ne s’ajoute pas le drame.
Écouter les instructions et sentir le sarcasme monter et ne pas le sortir pour protéger les autres.
Arriver dans ce petit espace et me demander comment je serai traitée par cette femme fatiguée de ce travail incessant.
Demander de pouvoir tisser du lien avec l’extérieur et être rassurée du surdrame qui n’a pas eu lieu.
Arriver dans un nouvel espace, plus glauque que le précédent. Lire la fatigue aussi sur le visage de cette autre femme et rapidement sentir le sarcasme monter à nouveau.
Il y avait, il n’y avait plus. Ou bien il n’y avait pas. Y avait-il eu ?
Dans la tête il y avait et le tourbillon tremblait, frémissait.
Être libérée et retrouver le chemin et lire dans tes yeux la tristesse mêlée à une forme de soulagement.
Sortir pour retrouver le blanc assourdissant, le blanc cotonneux, la douceur au milieu d’une détresse qui montait.
Retrouver le rouge déflagration, le blanc dégoulinant, et retrouver le tourbillon.
Lire dans tes yeux l’inquiétude, l’impuissance et la tristesse, parfois entremêlés.
Seule, j’aurais sans doute pu réussir mais seule ç’aurait été pire.

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15 avril 2020

F.

Marteler des liens et distancier des liens, voilà qui est original.

De rencontres en contacts, des fragilités naissent lorsque pour d’autres ce sont des forces. Mais là, dans notre histoire du jour, des fragilités, des craintes, des éléments auxquels il faut impérativement faire très attention. Dès lors que faire attention semble ne plus suffire, il faut mettre en garde et distancier des liens.

C’est entendable, il y a eu par le passé des usurpations. Sous les fallacieux prétextes d’amitiés ou d’intérêts manifestes - en tous cas manifestés - le coup de canif, la tentative de tout faire basculer, de tout donner, de brusquer, de choquer, tout montrer jusqu’à créer l’effroi et la trahison.

Les relations humaines sont complexes, les profils psychologiques sont très bons à recréer sans cesse les mêmes histoires et à ne s’en rendre compte qu’une fois trop tard. Ici, à tirer des plans sur la comète (l’espace nous intéressera ultérieurement) et parfois envoyer des fusées pour tenter de conquérir des territoires qui n’ont rien demandé.

Les liens d’amitié, c’est avec le coeur qu’ils arrivent, nous permettant d’épancher nos peines, de sourire, de rire, de commencer bizarrement à coups de fouets, de se donner rendez-vous ici ou là, à plusieurs puis seuls… C’est déambuler, c’est attendre, c’est rater des rendez-vous parfois ou être « juste » en retard. Envoyer un message virtuel, le lieu et l’heure, renvoyer un message pour prévenir du contre-temps, du retard, ne pas renvoyer de message, laisser dans l’inconnu. C’est multiplier les moyens de transports avec le coeur léger et parfois quelques contrariétés lorsqu’ils n’y mettent pas du leur ou que la légèreté de la pompe nous empêche de prendre les bonnes décisions rapidement. C’est sourire à imaginer les retrouvailles, regarder le paysage défiler et nous rapprocher un peu plus. C’est aussi ensuite la crainte que la rencontre se finisse et qu’il faille de nouveau s’éloigner. Parfois la crainte est plus forte, surtout avec la distance accrue. Celle-là donne des envies d’attraper l’instant, de le serrer et le chérir, d’entendre le partage de l’émotion, de donner à voir l’émotion.

Partager des moments importants, des étapes de la vie, des fiertés, des faiblesses, joies et deuils, partager nos oreilles, partager l’atmosphère qui règne…

Et puis, il y a parfois, exceptionnellement, des moments où tout dégringole, comme une cathédrale en feu. Les liens ne sont plus assez bien comme ils étaient et il est temps de provoquer une tornade.

Les cartes sont un peu rebattues, redistribuées. Marteler des liens et distancier des liens et changer tous ces liens. C’est ne plus bien comprendre ce qu’il se passe, passer du choix d’une peinture à une introspection. Ça fout un coup aux fesses. Ça emmêle, ça perturbe, ça bouscule, ça interroge, ça fait craindre le pire, ça redéfinit les contours et les appuis, la fin d’une amitié.
17 mars 2020

E.M.F.A.F.

Se mouvoir ou pourquoi je n'étais plus assez tout.
Devoir courir après, espérer du changement.
Ne plus pouvoir tolérer l'apathie renvoyant à un manque d'épanouissement.
Ne plus trop savoir dissocier le soi du nous quitte à remettre en questions les sentiments plus profonds.

La vie sait rappeler, faire revivre des événements passés au goût d'un nouveau jour.
C'est appuyer là où ça a fait mal, c'est faire comprendre ce qu'on pensait savoir, trop bien pour mettre une distance et dire qu'on ne savait pas tout.
Comprendre, accroc après accroc, pourquoi c'était gênant, pourquoi ça devenait explosif.

La vie sait le rappeler donc, au plus proche, au plus enraciné aussi.
Se mouvoir ou comment j'étais devenue tout.
Un pouvoir comme fardeau, une incapacité à dire comme tout ce qui m'avait été dit et contre lequel je n'avais pas pu lutter ou me reprendre.
Espérer la prise de conscience, pour protéger, pour que ça aille mieux mais ne pas laisser tomber si elle ne vient pas et accompagner.

Jetée dans la gueule du loup, le loup étant l'abandon, des torrents s'étaient déchaînés jusqu'à tarir la source, j'en avais déjà parlé.
Ce nouveau loup, bâton de sourcier à ses heures perdues, trouvait de quoi réactiver les éléments, qu'ils reviennent chatouiller, heurter.
Moins permanents, sans doute mis sur "pause" comme lorsque la pluie cesse tout à coup et que les dernières eaux s'évacuent.
Mais toujours le poids, plus lourd chaque fois, celui qu'on s'inflige et qu'on ne peut reprocher à personne, pas même aux éléments.
Les fameux conseils, les recettes, les mantras, il faut que et il suffit de les appliquer, déconnectés, décontextualisés, pas d'humains, trop de pseudo communication, de mots tout prêts, de phrases toutes faites et trop peu de monde pour s'ériger contre.
Encore plus de poids, de fatigue, de colère, le tout dirigé dans tous les sens.
Si j'en reviens au début c'était peut-être ça, c'était peut-être beaucoup trop et non distanciable et alors le poids était bien le mien.
Mais moi, je n'abandonne pas.

14 février 2020

Cheminer

Il y a des paysages accidentés, vallonés parfois, écorchés de l’autre côté.
L’accès se fait par un chemin qui semble inoffensif, comme s’il était teinté d’humour.
L’humour a de ça qu’il n’est pas facile, accessible, ou bien pas toujours et c’est un indice pour la suite des événements.
Une promenade a pu être entamée, on parle parfois de marche, mais alors faut-il un but ?
Est-ce la destination qui permet d’avancer ? Du genre « il faut se fixer des buts dans la vie »… Ou bien est-ce la beauté du chemin qui nous motive ?
S’engager sur un terrain, regarder parfois l’horizon sans savoir s’il faut regarder en face, à droite, à gauche ou derrière.
Passer du plat à une descente ou une montée. Certains passages un peu plus abruptes.
Essayer des terrains plus inconnus, sans savoir si on y arrivera.
Etre parfois freiné·e par des mésaventures passées ou des blessures qui ne semblent pas totalement cicatrisées pour oser avancer sereinement d’emblée.
C’est aussi poursuivre sur un chemin qui semble déjà connu ou vaincu et tout à coup reculer, ne plus se sentir capable de le faire. Puis retenter plus tard.
S’accrocher au bord, ne pas oser s’y aventurer tout de suite. Etre fébrile, essayer encore en s’accrochant et renoncer, et puis se lancer.
Se lancer, c’est aussi se donner, se dépasser.
Outre le paysage, il y a la météo. Ou bien fait-elle partie du paysage ?
Elle découpe différemment, d’un jour à l’autre, d’un mois à l’autre, selon la saison, selon que les éléments se déchainent, en une fraction de seconde d’ailleurs, un même paysage peut changer.
Le soleil qui plisse, qui éclaire, qui illumine, qui éblouit.
Les nuages qui font danser les ombres et accentuent certains détails en créant des puits de lumière.
Parfois la pluie qui embrouille un peu, comme un brouillard d’ailleurs, où les contours ne sont plus très bien définis. 
Parfois la pluie qui trempe, qui fait perdre la motivation première d’avancer, en se demandant si la balade ne risque pas de devenir trop dangereuse, ou qui fait chercher un abri.
L’abri pour se reposer, retrouver des forces, attendre le retour du soleil qui fait souvent des apparitions.
Avancer, sans viser le but, c’est prendre le temps d’observer autour.
C’est rencontrer un lac qui reflète tout ce magnifique décor de Nature, c’est pouvoir se déchausser et caresser l’herbe avec ses pieds, c’est croiser une étendue de fleurs sauvages et s’y attarder un peu, c’est choisir une colline plutôt qu’une montagne puis inverser juste parce que ça nous fait plaisir ou qu’on s’en sent enfin capable.
C’est croiser une forêt, croiser des érables et y siroter un café.

16 décembre 2019

P.

Il n’y a pas de bus et pas de trains, certains avions restent cloués au sol…
Pas nous. Nous volons.

En un rien de temps il ne faut connaitre qu’un mot, Kozel.

La nuit est tombée il y a bien longtemps et la nôtre le fera rapidement.
Les plafonds sont hauts, les pièces spacieuses et les rues le seront tout autant.
Les styles se mélangent, les couleurs, les dorures, il faut toujours lever la tête.
Au matin, une sérénité, une impression de douceur et d’un ventre lentement mais gentiment rempli.
Plus le centre approche et plus la foule se fait conséquente, le tourisme gronde.
Avec Noël, des odeurs vont se répandre au travers de la ville.
Celles du charbon, de la cannelle, le vin, la saucisse, le chou, les pins aussi se mêlent et se rappellent.
Des pavés apparaissent, les rues se rétrécissent parfois mais les façades nous appellent.
Enfin, c’est l’eau qui coupe la ville en deux.

Les touristes sont en horde et pourtant, une impression de sérénité m’envahit.
Je sens le calme au milieu des corps qui s’évitent et je ne saisis pas ce paradoxe.
Loin, même les lettres n’expliquent rien.
Les magasins ne permettent pas de comprendre le quotidien culinaire et en même temps, je me suis laissée porter.
Des expériences pas toujours très agréables, la douleur qui ne permet pas de profiter pleinement mais toujours cet état exceptionnel.
Enfin, comme toujours, les visages rencontrés le jour, les tenues de ces visages, se transforment lorsqu’on cherche un univers.
La musique nous appelle, le noir arrive, les têtes bougent de concert et toujours cet espace-temps suspendu et la sérénité.

Les déambulations doivent cesser, l’esprit des fêtes aussi.

Nous volons près du soleil qui se lève en nous suivant, au revoir flottement.

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14 novembre 2019

D’un vieux texte... D'une naissance...

« Du bout du nez il caresse cet objet.
Il y a tellement de sensualité, de douceur, de précautions dans ses gestes que je voudrais être un objet là maintenant. »
A la lueur d’une lune changeante au milieu d’un ciel menaçant ou au travers du filtre des étrangers.
Déjà tout se voit, se vit, et se bousculent les frontières passées.

Reste qu’être l’objet ramène à la vie et à l’envie.
Il y a des comètes qui plongent en illuminant et en émerveillant.
Envie passagère et romancée ou réalité tardive, la sensualité est là, la force aussi.

Ne demeure que cet objet, là maintenant.

Le pouce pour se rassurer, le pouce pour appeler les voitures, le pouce pour dire qu’on va bien, le pouce pour entamer le lien, le liant.
Les yeux qui n’entendent plus la parole, les yeux qui se posent, les yeux qui autorisent.
Le soleil brillant, le soleil la nuit sur le satellite.
La lune tantôt blanche, tantôt jaune, plus ou moins brillante qui dessine des ombres et souligne les émotions.
L’astre témoin, l’immensité du ciel, j’y plonge le nez lorsque la vue est dégagée.
Ça ressemble à une obsession, d’un article à l’autre, mais c’est plus qu’une ressemblance.
Désormais le ciel à portée de mains, à portée d’yeux pour plonger un peu plus dans l’immensité.
18 mai 2019

Dégradation

Le coeur a été brisé.
Les morceaux parfois microscopiques se sont envolés, trop loin, sous le souffle de la stupeur.
La colère présumée cachait la détresse et l’anéantissement alors les larmes ont coulé, longtemps, jusqu’à tout assécher. 
Devenue aride, les rares gouttes s’évaporaient avant même d’avoir touché le sol.
Bien moins qu’il ne faudrait de doigts pour les compter, de fortes pluies ont pu s’abattre mais plus rien en comparaison du coeur qui disparaissait. Seule la mort a trouvé grâce à ce désert. Et encore…
L’objet s’est déplacé en survie. Une pointe d’estime est née. L’inconnu, empreint de professionnalisme. 

Il fallait demeurer droite mais le coeur était depuis devenu pierre et sa lourdeur a fait céder. 
Le mécanisme pour avancer s’est enrayé, d’abord en bas mais il était toujours possible de se mouvoir.
Pour immobiliser comme cette statue devenue, il fallait stopper l’autre côté.
Gauche, droite. 

A trop souffrir, plus rien n’a d’effet. Avancer encore, écraser le mal. Faire remonter la douleur, la laisser sortir, l’accepter ?
La nuit, toucher au plus sensible, à la détresse insensée, fissurer encore plus profondément comme le signal - signal ?! - qu’il fallait lâcher. 

Pour ressourcer, les visites.
L’odeur, le nez qui veut se bloquer en son creux.
Les doigts qui se promènent et la douleur qui n’a que l’importance qu’on lui donne.
La cible est ratée, un peu trop proche, c’est louche.
C’était fait exprès, surprenant mais magnétisant, obsédant, à ne plus pouvoir voir le foyer qui consumait l’histoire.
Et recommencer, à mettre de côté les aiguilles tournantes et à devoir chercher quelques prétextes expliquant ce délai.

24 décembre 2018

Check

J’ai dû cocher les cases une à une.

 

La première est arrivée si vite et elle m’a intéressée rapidement.

Prise au jeu je me suis servie d’elle pour m’enrober, m’emballer, m’étouffer.

Plus besoin de penser, avancer. 

Faire durer plus longtemps, toujours.

 

Elle m’a donné l’ouverture, la deuxième case.

Le téléphone craint, les réunions et autres obligations.

C’était une case pour apprendre sur soi, apprendre de soi.

Ainsi j’en étais capable mais il fallait que le trait soit forcé.

 

Il ne manquait que la dernière case.

Elle impliquait de tout revoir, tout changer.

Une demi décennie pour la cocher.

Ton absence de mes rêves, ta présence dans mes songes.

Je guète le tournant et le calendrier me rappelle.

 

La case se remplit, elle se noircit.

Le trait sera encore forcé et l’issue est inconnue.

Le monde, l’univers se rétrécira, enrobera. Il étouffera ou protégera. 

Je me prends au jeu, j’irai encore jusqu’au bout, plus besoin de penser, avancer.

Les projets qui s’enchainent et qui entêtent c’est toujours ça de moins.

10 juillet 2017

Et toujours l'automne

Était-ce sa bienveillance ? Son intérêt ?
Il s'était passé quelque chose et ça me dépassait.
C'était la première fois que ce sentiment apparaissait, comme une certitude, une certitude à laquelle je n'étais pas encore prête.
La dépression avait laissé des traces, il devait se tromper.
Il fallait lui ouvrir les yeux et lui parler d'un livre que j'ai oublié rapidement (mais pas lui).
Il devait savoir que j'étais mal aimable - il devait se tromper - pour que je sache qu'il restait en sachant.
Il devait savoir la fragilité, l'accepter pour que je puisse me montrer.
Et c'était parti.
Toutes ces années de construction pour arriver à cette évidence.
Je savais. Je n'avais pas su depuis longtemps, j'avais joué à ouvrir toutes les portes pour éventuellement trouver et ça m'avait plutôt réussi.
Ça masquait cette ignorance des choses et ça montrait le chemin de la légèreté.
Il patientait puis s'impatientait, il avait du se tromper.


Les traces laissées s'accentuaient par le manque de communication avec l'extérieur.
Plus tard on lui dirai ô combien elle s'était éteinte.
Il était trop tard. Elle savait l'évidence mais elle n'avait rien de réciproque.
La complicité, les valeurs, l'amitié, la tendresse, l'amour n'avaient plus d'importance.
Le petit sourire juste avant de rire, le regard qui avait été si doux et qui laissait transparaître une totale incrédulité face à cet amour qui le dépassait, tout est devenu froid.
L'amour et le soutien face à l'autre qui se trouve dans une abîme mais qui n'a pas fermé sa porte, il ne le connaissait pas ou plus.


C'était bien ma faute si j'avais tout perdu.
Imbuvable et caractérielle, même lorsque ma position au sein de la société aurait été celle qui n'a plus de parole.
C'était ma faute si je n'avais pas pu dire au revoir à sa famille que j'aimais pourtant.
C'était encore ma faute si j'étais incapable de me relever, si mes nuits étaient parasitées et que mes jours me foutaient des coups de poings dans la gueule encore et encore, même quand je pensais que ça allait plutôt bien.
Un morceau de gruyère et c'était fini, une chanson et c'était fini, un journaliste à la télé, une intolérance au ......
Mal aimable et accrochée.

1 novembre 2015

C'est encore l'été

Entêtant, entêtée.

Dès que la place est libérée, intrusif.

Si le repos n'est plus, la fatigue s'accumule.

Les rêves sont des cauchemars,

les raisons se mélangent et je suis pointée du doigt.

Méchamment, parfois plus gentiment mais la chute est la même.

Tu tombes, tu tombes, tu sèches.

Tu flottes et regardes partout autour de toi,

ça ne t'appartient plus, c'est toujours l'attente.

Le retour du fouet est imprévisible [...]

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