Les limites, il n'y en a pas. T'essaies de te

Les limites, il n'y en a pas.
T'essaies de te protéger un minimum mais très vite, c'est comme les autres, t'as mis le pied dans l'engrenage.
Tu te rappelles les heures passées à rechercher et à trouver, tu te dis que c'est derrière toi.
Tu te rappelles du malaise ms et des interdictions d'y toucher.
Tu te souviens du rouge, de l'eau, du cri.
Tu te dis que cette fois ci ça ira.
Et E. est là, et tu fonces.
Et tu vois l'autre, et tu deviens mesquine et "ça pue", et y a la pouf, la p.m.
Et tu n'veux pas péter de câble, alors tu sors par la petite porte, t'éclabousses pas.
Et tu vois l'autre tordu, tellement con, débile, stupide, que tu te demandes qui c'est.
Alors tu oublies aussi.
Mais ça revient toujours.
"Il" vient te narguer.
Il te montre que tout le monde peut s'essuyer les pieds dessus, mais que tu seras quand même la prochaine à prendre pour toutes les autres fois.
Et là t'as envie de crier un bon PUTAIN et de foutre des baffes, et même verbalement t'as pas le droit de le faire.
Alors PUTAIN quoi.
Bande de cons.