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Novembre pour moi
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30 décembre 2009

Oh baby it's a wild wild world

Je mange, je bouffe.
Je m'assoupis, je dors jusqu'à plus soif.
Je fais pipi, je pisse.
Je danse, je chante.
Je souris, je ris.
Excès, excès terra.

Patatra, et ça repart.

Une galerie, la putain de photo horrible de cette "claire", arrête de sourire bordel t'es cheum. Mon acolyte acquiesce, plus que plussoyer, c'est incomparable.

 

Je me retrouve dans ce monde magique, féerique, glauque. Entre un Big Fish et un Imaginarium du Docteur Parnassus.
Le rideau de lumières nous accueille, les rideaux de velours rouge, ce beau rouge..
Tirez les portes, de grands miroirs, Monsieur et Madame vous souhaitent la bienvenue.
Une flamme en plein milieu, il fait chaud, doux, on attend des monstres de foire.
Du plafond nous scrutent les masques, chevaux et autres licornes. Les branchages seraient un piège formidable, j'y construirai bien mon nid.
Un petit théâtre, des jeux antiques, je me laisse aller à tester ce manège.
Pédale de toutes tes forces, je ris, je ris à m'écrouler. Je n'ai plus de jambes, j'aime ça. La semaine dernière sur les petits bateaux nous nous écroulions déjà, et je riais à en pleurer aussi.
J'aime ça! J'aime ça!!
Dehors la fumée nous pique les yeux, la barbe à papa nous chatouille le nez, les lumières se lèvent, c'est beau.
Hors du temps, hors de la ville. Des enfants partout, ça pleure, ça crie, ça rit.

 

Je m'évade. Mais ça t'aurait plu.

J'imagine tes plages, ta montagne, tes bite-queues  au bar de l'hôtel le jeudi aprem'. Ton poisson cru, les trucs au coco, et je pense "beurk" parce que je n'aime pas beaucoup le poisson (trop d'arêtes) et je ne supporte même pas l'odeur du coco. Mais j'ai l'imagination fertile quand je la laisse aller.

Alors du coup je voyage d'un monde à un autre, tantôt un monde rêvé, tantôt un monde féerique, tantôt un monde que je ne connaîtrai sans doute jamais.

Vogue, vogue, arrêtes de fumer des clopes, arrête d'insulter les connasses, arrêtes de porter ces trucs nonchalamment. Ou pas.

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